jeudi 22 mai 2008
C'est le nouveau mensuel féminin soit disant "haut de gamme", lancé par Prisma Presse ce jour.
Libellés : la chronique d'anne-so
Je suis retombée dessus par hasard...
Arthur est illustrateur, il dessine des petites femmes, et quelquefois des petits hommes, souvent tout nu, toujours drôle!
Regardez...
Libellés : la chronique d'anne-so
mardi 20 mai 2008
J'aime les tests de psycho dans les magazines féminins, c'est rigolo, c'est débile et à la fin on se dit toujours: Mais putain de merde c'est vrai!!
Quelle amoureuse êtes-vous ? (Ca c'est naze, bref concentré de ma soit disant personnalité, on s'en fout en fait.)
Les hommes vous trouvent parfois froide et réservée. C’est mal vous connaître, car vous êtes en réalité une femme passionnée. Mais vous cachez vos sentiments. D’une nature anxieuse, dès que vous tombez amoureuse, vous craignez d’être délaissée. C’est cette peur qui vous empêche trop souvent de vous engager ou vous fait commettre des actes insensés : quitter par exemple un homme que vous aimez, de peur que lui ne vous abandonne un jour… ou rester avec un homme qui ne vous convient pas, par pure angoisse de vous retrouver seule. Mais avec le temps, vous prenez confiance en vous, et vos relations sentimentales ont plus de chances de durer.
P.S : un petit veau fera l'affaire
Libellés : la chronique d'anne-so
dimanche 18 mai 2008
Clin d'oeil à la soirée du 17/05/2008
Nous aussi, nous en serons!
- Parce qu'il est le dictionnaire de la compétence, de la reconnaissance et du talent.
- Parce qu'il est le seul à offrir une information biographique fiable et vérifiée.
- Parce qu'il est un outil professionnel hors pair et un formidable carnet d'adresses.
- Parce qu'il permet d'identifier en un clin d'œil les acteurs clés d'un domaine d'activité.
Libellés : la chronique d'anne-so
Libellés : la chronique d'anne-so
Libellés : la chronique d'anne-so
Libellés : la chronique d'anne-so
Ces choses dont on ne se rend compte que bêtement trop tard
0 commentaires Publié par inravi à 01:45
Chroniqueur sans Chronique… et bien non chers amis, le temps est à l’action.
Exit les angoisses de grossesse, les anxiétés face à des lecteurs que l’on imagine avertis, toujours plus exigeant que tous les usagers du RER A. Tous les psychologues vous le diront : n’ayez pas peur d’être une mauvaise mère, vous en serez une de toute façon.
Et c’est donc avec grand plaisir que je vous présente ma chronique :
Ces choses dont on ne se rend compte que bêtement trop tard
Le principe est simple :
- soit vous vous direz « mais faut vraiment être trop con pour ne s’apercevoir qu’à 24 ans que Vinaigre n'est que la contraction de Vin et de Aigre ; je comprends pas pourquoi Darwin n’a toujours pas enterré le concept d’égalité des chances…»,
- soit vous vous direz « non, c’est pas vrai, je suis trop con, comment je n’ai pas pu me rendre compte que le Vinaigre n’est que du vin aigre ».
Le panthéon des mecs dont le prénom suffit à nous évoquer tout un univers est finalement assez petit. Allez, en vrac, disons qu’il y a Ronald, Mickey, Lucky, Barney, Jean.
Avons-nous réellement besoin ou même envie d’entendre McDonalds, Mouse, Luke, Stinson ou Mineur afin d’avoir un visuel, des sensations ou encore l'envie de sourire ? Non ! Clairement.
Voici donc ce qui nous conduit au cœur du sujet : mais quel est donc le nom de famille de notre plombier préféré ? ....
... Tous en cœur : BROS !
Prenons à présent le temps de la réflexion. Pourquoi Bros ?
Pour la même raison que Warner Bros : ils sont deux, ils ont les mêmes parents, et si l’anglais c’est cool, les abréviations en anglais c’est encore plus cool.
Mais alors, si les frères Warner s’appellent Warner, les frères Mario s’appellent donc… Mario ?
Non, ce con de moustachu qui m’a fait croire pendant toute mon enfance que je pourrais voler si je mangeais suffisamment de feuilles s’appellerait donc Mario Mario ?
Et c’est donc avec grand plaisir que je vous laisse découvrir, beaucoup trop tard, que Mario s’appelle Mario Mario.
Si vous en doutez encore, re-visionnez donc Super Mario Bros, le film, sorti en 93 retraçant les aventures de nos amis en salopette.
http://www.imdb.com/title/tt0108255/
Si je peux me permettre un dernier conseil, ne mangez pas trop de feuilles, vous risqueriez de vous voir pousser des oreilles et une queue de raton laveur.
Et oui, le Vinaigre n’est que du vin aigre…
samedi 17 mai 2008
Libellés : la chronique d'anne-so
mercredi 14 mai 2008
Ce qui est certain, c'est que rien ne change à Cannes durant cette quinzaine.
Libellés : la chronique d'anne-so
Libellés : la chronique d'anne-so
No Comment! On adooooooooore!!!
Libellés : la chronique d'anne-so
lundi 12 mai 2008
Avant de devenir le BG de la ménagère, tu étais chanteur. Tu avais des boots blanches, un gros ceinturon, une chemise ouverte sur un médaillon, ton sourire ton atout majeur, tu t'éclatais
Et tu es réapparu sur l'écran plasma avec un logo derrière toi. C'était écrit Nouvelle Star. La ménagère t'a confondu un temps avec les futurs Willem & Co, mais sa fille a ressortie l'album photo et non tu n'as pas changé, tu es toujours ce jeune homme étrangé.
Libellés : la chronique d'anne-so
Libellés : la chronique d'anne-so
Voici venu le mois de mai et avec lui, ses aqueducs, viaducs et autres bridges... ah lala, le joli mois de mai!
On flâne ici et là, on se prélasse, on profite de la température ambiante(24° ce jour!), on sort la jupe, on oublie le soutif, et on mate. A Paris.
Le matage, c'est comme cela qu'on le nomme. Jeu typiquement métropolitain, on constate une croissance indéniable d'adhérents à l'arrivée du soleil. Allez savoir pourquoi? L'INSEE n'a, à ce jour, publié aucun chiffre.
Ce jeu libéral ne spécifie aucune règle, tant mieux, on ne nous a jamais donné le mode d'emploi.
Pour cela, équipez vous de vos deux yeux. Un seul ne suffirait pas ou risquerait de nuire à vos performances. Faites vous belle, ou beau. Tétons à l'abordage pour certaines, poils au vent pour d'autres, l'objectif est de regarder tout ce qui bouge autour de vous sans jamais vous faire remarquer. Allez-y, vous êtes prêt. This game is an open game, everybody can join it.
Parce qu'il faut bien l'admettre, on s'emmerde tous un peu. A Paris.
Libellés : la chronique d'anne-so